Typhons sur l’Hôtel de Ville est dédié aux amoureux de la raison. C’est une fiction où le vrai côtoie l’inventé. Il faut donc se méfier des apparences, des fausses nouvelles ou même de ce que pensent ou croient mes personnages. Ou de ce que les journalistes leur disent …
La fin du troisième chapitre a lieu bien avant 19 heures 30 au Château de Neuchâtel le jour des élections fédérales.
Ma question s’adresse aux nombreuses personnes qui aujourd’hui ont lu le chapitre 3 mis en ligne : Jeanne-Sofia a-t-elle été interrogée par Darius Rochebin en ouverture du 19:30 ?
Le chapitre s’arrête ici :
La réponse ne sera pas donnée par moi mais par le livre au chapitre 7.
Petit indice : le roman est écrit au style indirect libre, c’est-à-dire qu’on entre dans les pensées des personnages comme si c’était le narrateur.
Exemple dans le chapitre 3 :